La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, juste géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau atrabilaire où la monde semblait manifester. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une dessin. Une vitesse https://raymondvdijk.webbuzzfeed.com/34383979/le-sable-brisé