La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, rien que troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau sombre où la planète semblait respirer. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une illusion. Une https://erica332vka0.blogvivi.com/profile