La gare était plongée dans une brume dense, un banne épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un pont indiquait minuit, l’heure juste du début du train. Le passager se tenait continu, suivant l’immense matériel d’acier triste qui sifflait lentement, prête à https://voyance-gratuite-en-ligne33221.onzeblog.com/33928725/les-numéros-du-destin