Le soleil s’écrasait sur les perles naturelles brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient circonvoisin de la carcasse rouillée d’une vieille cabine téléphonique. Posée seule au démarcation d’une accès oubliée, elle ne figurait sur zéro carte officielle. Pourtant, tout dimanche à midi, une avertisseur https://advoyance31986.izrablog.com/34409741/la-cabine-du-septième-ajour