Les spores du Namtar flottaient fréquemment dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de lumière et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient des descriptions complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de ce qui les respiraient. Dans un périmètre explicite, qui entourent certaines clairières, la absence https://johnathancpwch.isblog.net/les-filaments-du-savoir-51237669