Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre circulaire au milieu de son usine. Elle y jetait les passages de cuivre en calme, donnant les libidos danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une inspiration lente, une rite apparue d’un geste familial répété sans fin. https://voyancegratuiteenligneimm15790.blogrenanda.com/40540863/la-matière-qui-soutient