À paris, dans un avenir proche saturé de réseaux incorporels et d'informations ambiantes, une artifices étrange s’était mise à tomber chaque nuit. Elle n’avait ni couleur, ni odeur, ni chaleur. Pourtant, elle laissait sur les surfaces vitrées des milliers de prénoms, dessinés par condensation numérique, comme par exemple une encre https://louiskduja.newbigblog.com/40410738/la-pluie-des-sigles