Sous la vaste courbe translucide du dôme martien, les jours s’écoulaient avec une lenteur oppressante. Alia ressentait le poids croissant des projections silencieuses sur les parois. Elles étaient désormais permanentes, doucement mouvantes, notamment une vapeur dense qui refusait de dissiper. Ces portraits, nées des regrets cachés et non formulés, devenaient https://elliottkllhf.blogkoo.com/l-éveil-du-dôme-53671418